NOTE D’INFORMATION :
JOURNEE DE SOLIDARITE
La journée de solidarité a été instituée en 2004, après la canicule de 2003.
L’objectif est de financer des actions en faveur de l’autonomie des personnes âgées ou handicapées.
- Pour l’employeur, cela consiste en une cotisation de 0.30% de la masse salariale versée tous les mois à l’URSSAF par le biais de la DSN.
- Pour les salariés, cela consiste en une journée de travail supplémentaire non rémunérée.
La façon dont la journée de solidarité est effectuée est à déterminer au niveau de chaque entreprise :
- Pour beaucoup, la journée de solidarité est positionnée le lundi de Pentecôte (24 mai cette année).
Si c’est le cas pour votre entreprise, cela signifie que le lundi de Pentecôte ne sera pas considéré comme un jour férié mais comme un jour de travail et que vos salariés devront être présents ce jour-là ou poser une journée de congé ou d’absence s’ils ne souhaitent pas venir travailler.
Bien entendu, la journée de solidarité peut-être positionnée sur un autre jour férié, à déterminer au niveau de l’entreprise pour tous les salariés.
- La journée de solidarité peut également se faire en heures supplémentaires effectuées mais non payées, moyennant un suivi, dans la limite de 7h pour un salarié à temps complet (proratisé pour un salarié à temps partiel).
Quelle que soit la solution retenue, il est important que la journée de solidarité soit formalisée sur le bulletin de paie.
>> Pour ce faire, merci d’avance de revenir vers votre conseiller Paie et RH au cabinet pour lui faire savoir quelle solution vous retenez pour votre entreprise concernant cette journée.
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